L'Eclair a écrit :provence a écrit :Bon là on va corriger les légendes qui en arrangent certain par ce que çà explique pourquoi ils ont le nom de leur club de coeur qui apparait moins souvent sur la plaque de cuivre en dessous du Brennus :
1/ le SUA a gagné plus de Brennus ( 5/8) en dehors de la période où Albert Ferrasse était aux commandes de la FFR ;
2/ le club qui a gagné le plus de titre durant la période "Ferrasse" c'est l'AS Béziers ;
3/ Agen a perdu 3 finales durant cette période ;
4/ en 1990 le Président Ferrasse à gracié le talonneur du Racing-Club-France qui était supendu , pour qu'il puisse jouer la finale contre Agen .
Par contre ce qui est exact : Ferrasse incitait des bons joueurs à venir à Agen en leur disant que çà favoriserait leur sélection ; on peut reprocher la sélection de joueurs agenais au détriment d'autres , mais durant la période "Ferrasse" l'Equipe de France a eu des résultats ( 1er grand chelem dans le Tournois en 1968 ...des victoires dans le Tournois avec pas mal de grand chelem ...la 1ere victoire en Nouvelle-Zélande un 14 juillet 1979 ...une finale lors de la 1ere Coupe du Monde , dont il ne faut pas oublier qu'il en est l'instigateur en tant que Président de l'IRB ).
Les mises au point étant faites ajoutons que Albert Ferrasse n'est plus aux commandes depuis plus de 20 ans et qu'on peut pas le soupçonner d'être pour quelque chose dans l'exploit agenais à Aimé Giral ; ce sont avec leur coeur et leurs tripes qu'ils ont été chercher le droit de rejouer une finale d'accession .
On peut la tourner dans tous les sens en 1982 Agen à perdu contre la Section Paloise en 8e de finale mais Hourquet a refusé 2 essais parfaitement valables ou encore n'a pas accordé une pénalité flagrante, pour qualifier le SUA. J'y étais. A la suite de quoi Ferrasse l'a récompensé en le mettant à la tête de la commission arbitrale.
Cette tache là est indélébile. Ce titre là je ne le reconnaitrais jamais.
Sur les 4 points très astucieusement avancés, je le reconnais, on va démonter tout ça:
1/ De 1965 à 1985, AF a été votre Président et de la Fédé dès 1968 jusqu'à fin 91.
Il était de fait déjà le parrain bien avant ...Titres: 62, 65, 66, 76, 82, 88, ça fait 75 % des titres , non ?
et aucun depuis.
2/ Excuses-nous, mais comparer le Grand Béziers à Agen, pour tous, à l'époque, y a pas photo.
L'une écrasait le championnat à longueur de saisons, l'autre pas vraiment...
Le nombre de titres et de finales est totalement disproportionné par rapport au niveau réel du club.
3/ Agen est arrivé en finales si souvent en effet, curieux, non ? mêmes observations qu'en 1/)
4/ Rien que le mot "gracié", ça donne une idée du régime...
Les joueurs selectionés: ce ne sont pas les agenais qui ont le plus marqué la période en EDF.
On pouvait peut-être faire encore mieux.
Je ne veux pas donner de noms côté agenais par respect pour les hommes, mais le refus de donner leur cape à des mecs qu'on a envoyé en tournée pour porter le maillot frappé du cocq, "gracié/pas gracié" ?) fait du prince (ni de l'attaque ni de la croix), c'est inadmissible.
Vive Bourbon, vive Castagnet.
Et ceux qu'on a été obligé de sélectionner tellement ils éblouissaient par leur classe, et dont on a mesquinement attendu le match raté (et encore, quand tu prends une interception à 80 mètres de ta ligne d'en-but ?) pour les virer à tout jamais.
Vive Gachassin, vive Maso, vive Barrau.
Et ceux qui avaient leur place, largement, quand d'autres commençaient à se traîner au train de Sénateurs.
Vive Loustaudine, vive Bruel.
Et ça, tous les clubs de l'élite peuvent en citer en effet.
Et ce que nous rappelle L'Eclair, alors ?
Sans tout ça nous n'aurions
pas de problème à dire que le SU Agen est un bon club, mais avec ces années Ferrasse, sans déconner...oh, c'est abuser, non ?
D'ailleurs, AF, peut-être qu'on aurait été contents qu'il soit palois, mais dans ce cas on comprendrait très bien aussi que les autres clubs y trouvent à redire...
Votre finale, bravo, les joueurs sont allé se la chercher, il faut le dire.
Et votre bus caillassé, lamentable, il faut le dire aussi, il y a des cons partout.
Le rugby est à l'image de la vie, car le ballon n'est pas rond.