#bearnais a écrit :Ce recrutement de Haouas est une honte pour le BO, pour le pays basque et pour notre régions mais hélas plus rien ne choque personne, même au plus au sommet de l’état on a laissé par exemple Adrien Quatennens à l Assemblée nationale continuer à faire le clown, alors qu’il a était condamné à 4 mois de prison avec sursis.
La société est cruellement malade.
Après même si je suis complètement d'accord avec ce sentiment d'incompréhension et colère quant à Haouas et choqué par les propos de Gave que doit on faire?
Le type fait des conneries, il est sanctionné par la justice, sa sanction comporte amendes, prisons réduction de liberté et de droits mais pas de bosser Doit on pour autant l'empêcher de faire son boulot au risque de précariser sa famille et sa situation avec les risques que cela suppose...
Etre condamné en justice signifie t il l'empêchement de travailler? Ce qui serait une double sanction voir une triple car on entrevoit déjà tout ce qu'il a perdu professionnellement (les bleus, un gros contrat à Clermont, sa réputation même s'il n'est peut être pas assez intelligent pour intégrer cela)
J'imagine qu'il y a pas mal de connards autour de nous qui auront eu soit un rappel à la loi soit une condamnation pour des faits similaires et qui bossent encore sans encombre. Des types certes moins connus moins soumis à la notion d'exemple mais tout aussi minables pour qui la vie professionnelle n'explose pas et l'intégration sociale est possible car on ne le sait pas.
Même en taule on envisage (très mal c'est un fait) la notion de réinsertion, là on est sur une désinsertion punitive...
Je ne parle pas de pardon, de deuxième voir cinquième chance ja parle loi et réalité.
Pour Quatennens il y avait possibilité de faire différent il n'était pas obligé de représenter des gens et aurait pu se reconvertir car en plus il va avoir son mot à dire sur des lois qui régissent la vie des gens mais Haouas on lui demande juste de jouer au rugby ????
J'avoue que si cela était été possible j'aimerais qu'il soit suivi psy, social et judiciairement , qu'à sa peine soit rajouté des interventions (pas des rencontres) auprès des institutions de reconstruction des femmes battues, qu'il soit tenu de faire du boulot pour ces femmes et qu'à l'arrivée on fasse un bilan Utiliser son exemple et son rôle pour la réparation... Ce n'est pas dans mon raisonnement une dimension de pardon biblique comme l'autre truffe
Mais c'est un autre débat