Je vous rejoins sur l’aspect public, c’est toujours comme cela au hameau en début de saison entre week-end sur la côte et préparation de rentrée. On est loin de l’engouement populaire de l’autre côté du département (où il n’y que ça à faire de septembre à mai) suivant une remontée puis un top 8 mais qui, comme le soufflet de mamie sorti du four peut retomber aussi vite si la machine se met à dérailler
Si on fait un bon match à Perpi qui va nous préparer la guerre pendant 2 mois et jouera sa survie, nous aurons assurément un « no hay billetes » pour recevoir le grrrrrrand stade Toulousain avec les honneurs dûs à son rang, puis d’aller chez les champions du monde de Jean Dauger.
Si ça voulait sourire un peu, mais surtout si la coupe du monde crée l’engouement populaire attendu, cela va se remplir un peu et Monsieur le maire sera tenu de tenir la promesse de fermeture du stade pour enfin créer l’effet chaudron nécessaire
Le côté positif, pour l’avoir tant et tant dénoncé, je ne peux que le saluer = on dirait qu’on a enfin réussi à régler l’horloge de la sono pour le timing de la Honhada
Ni positif, ni négatif, je sais pas vous mais moi je ne comprends rien à ce que dit le nouveau gazier au micro. Si la voix de Mathias est intelligible, il faut ajuster les écoutilles pour entendre et comprendre le nouveau
Dernier truc : même si on est assez loin des 2 vaches rouges avec des grandes cornes sur un drapeau jaune et qu’on veut que le public chante Sweet Caroline à la fin du match, il serait peut-être bon d’afficher les paroles sur le grand écran car sinon, cela risque de se limiter longtemps à « oh,oh,oh»
https://www.youtube.com/watch?v=6pe_-3ThMzkhttps://www.youtube.com/watch?v=jPkNBo4_rpMWhere it began, I can't begin to knowing
But then I know it's growing strong
Was in the spring
And spring became the summer
Who'd have believed you'd come along
Hands, touching hands
Reaching out, touching me, touching you
Sweet Caroline
Good times never seemed so good
I've been inclined
To believe they never would
But now I
Look at the night and it don't seem so lonely
We filled it up with only two
And when I hurt
Hurting runs off my shoulders
How can I hurt when holding you
One, touching one
Reaching out, touching me, touching you
Sweet Caroline
Good times never seemed so good
I've been inclined
To believe they never would
Oh no, no
Sweet Caroline
Good times never seemed so good
Sweet Caroline
I believe they never could
Sweet Caroline
Good times never seemed so good
Pour conclure, essayons d’éviter you will never walk alone, hein